AI Movies (1)FR
Speakers
Bio
Simon Bréan est maître de conférences en littérature française des XXe et XXIe siècles de la faculté des lettres de Sorbonne Université, membre du CELLF (UMR 8599). Il est spécialiste de littérature de science-fiction française (La Science-fiction en France, Théorie et histoire d’une littérature, Paris, PUPS, « Lettres Françaises », 2012), ainsi que de littérature d’anticipation (programme ANR Anticipation, dirigé par Claire Barel- Moisan) . Il étudie les apports de ces littératures à la théorie de la fiction, en particulier sur la question des artefacts science- fictionnels : « En quête d’une vérité oblique : les œuvres de Pierre Bordage au miroir de leurs artefacts mythographiques », (ReS Futurae, 2019) ; « Vers une immersion participative : étude comparée d’artefacts fictionnels en littérature, au cinéma et dans le jeu vidéo » (Cahiers de narratologie, 2020). Il est également membre du conseil d’administration de la SELF XX- XXI, rédacteur en chef de la revue Elfe XX- XXI, et membre du comité de rédaction de la revue ReS Futurae, consacrée à l’étude de la littérature de science-fiction.
Bio
Marine Malet est doctorante contractuelle en Sciences de l’Information et de la Communication à l’Université Paris II Panthéon-Assas et au Centre d’Analyse et de Recherche Interdisciplinaires sur les Médias (CARISM). Elle réalise une thèse sous la direction du Pr. Rémy Rieffel intitulée provisoirement « Analyse des représentations sociétales proposées par les séries télévisées dystopiques et de leur réception au sein des communautés en ligne de sériphiles ». Ses thématiques de recherche portent sur les séries télévisées, la fiction et le réel, les communautés en ligne et les fan studies.
Bio
Occitane Lacurie, ancienne étudiante de l’École Normale Supérieure de Lyon, est doctorante contractuelle en Esthétique à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Sa thèse, intitulée « Le fantôme dans la machine. Apparition, supercherie, dispositif », s’inscrit dans le champ de l’archéologie des médias et des études visuelles. Elle collabore régulièrement à la revue critique Débordements et est intervenue en octobre dernier au colloque « Art, quotidienneté, catastrophe » à la Meiji University de Tokyo avec une communication intitulée « The Digital Ghost. Computing the Uncanny in K. Kurosawa’s Kaïro » .